Prologue
C'était la nuit et dehors, la tempête faisait rage. Le vent soufflait et hurlait, la pluie diluvienne tombait sans interruption, les éclairs déchiraient le ciel et le tonnerre grondait. Mais, derrière le rideau de pluie, dans la nuit noire, on distinguait une silhouette humaine. Elle avançait péniblement, luttant contre le vent, habillée d'une cape et d'une capuche et portait quelque chose dans ses bras, le tenant bien serré contre elle. La silhouette arriva devant une maison isolée et s'arrêta devant la porte. Un éclair illumina une pancarte assez longtemps pour en lire l'inscription : Alice Orphanage. La silhouette déposa sur le pas de la porte, un couffin, y cacha une enveloppe et s'éloigna rapidement, laissant le couffin sous la pluie battante. On entendit alors des pleurs, grandement recouverts par le tonnerre, et la porte s'ouvrit. Un homme assez jeune, une lampe à la main, aperçut le couffin à ses pieds. Il le prit et l'emmena à l'intérieur, refermant soigneusement la porte. Il entra dans une petite pièce dans laquelle il n'y avait qu'un lit et une armoire. Il s'assit sur le lit et ouvrit le couffin avec précaution. A l'intérieur, il y avait un petit bébé d'à peine deux mois et une lettre. Il la prit et l'ouvrit.
Dans ce couffin, il y a ma fille, Mikan. Elle a deux mois et est née le 1er janvier. Je sais que ce n'est pas bien d'abandonner ainsi son enfant mais son père est mort bien avant sa naissance et je ne peux subvenir à ses besoins. Je vous confie donc la chose que j'ai de plus précieux au monde et j'espère qu'elle sera heureuse.
La lettre n'était pas signée mais le jeune homme comprit que cette femme n'avait pas eu d'autre choix que d'abandonner son enfant. Doucement, il se leva et sortit de la pièce, le couffin dans les bras.il entra dans une pièce où plusieurs lits étaient alignés et il déposa le bébé dans l'un d'eux, avant de retourner se coucher.
Dans ce couffin, il y a ma fille, Mikan. Elle a deux mois et est née le 1er janvier. Je sais que ce n'est pas bien d'abandonner ainsi son enfant mais son père est mort bien avant sa naissance et je ne peux subvenir à ses besoins. Je vous confie donc la chose que j'ai de plus précieux au monde et j'espère qu'elle sera heureuse.
La lettre n'était pas signée mais le jeune homme comprit que cette femme n'avait pas eu d'autre choix que d'abandonner son enfant. Doucement, il se leva et sortit de la pièce, le couffin dans les bras.il entra dans une pièce où plusieurs lits étaient alignés et il déposa le bébé dans l'un d'eux, avant de retourner se coucher.
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Voilà le prologue de ma fiction 2 !
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